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Le salut de Dieu
25 août 2018

Sans Dieu, où irions-nous ?

    Dans mon enfance, mon père m’emmenait souvent à l’extérieur. Quand j’étais fatigué de marcher, il me portait sur son dos. À ce moment-là, je pensais que mon père était très grand, et de son dos je pouvais voir au loin.

    Les années se sont écoulées. Le jeune arbre a augmenté le nombre de ses anneaux et n’était pas tendre, et est devenu grand et droit. Le grand arbre est devenu vieux et a été tamponné par les marques du temps tout le long de son corps. Les choses changent avec le temps. Quand nous grandissons, notre ville natale nous semble toujours petite et nous devenons curieux au sujet du monde extérieur. Donc, les enfants naïfs aiment maintenant voyager loin de chez eux. Mes amis d’enfance ont quitté notre ville natale avec leurs rêves. Certains d’entre eux ont connu un grand succès ; et certains sont rentrés, glorieusement, chez eux. En tant que jeune homme téméraire, bien sûr, je ne voulais pas rester là où j’étais aussi.

    Cette année-là, quand j’ai quitté la maison, j’avais une demi-tête de plus que mon père. Après avoir parcouru une certaine distance, je ne pus m’empêcher de regarder en arrière et de constater que son dos était un peu courbé. Puis j’ai jeté un dernier coup d’œil à cet endroit où j’ai été élevé, j’étais un peu réticent, mais j’avais pris ma décision. À ce moment-là, j’avais l’intention de changer mon propre destin de mes propres mains. C’était mon but inébranlable.

    Dans le jeune moi il y avait un cœur agité. J’ai traversé la foule et voyagé d’un endroit à l’autre. Je débordais d’orgueil. Cependant, la réalité a combattu mon rêve encore et encore. Je pensais que c’était facile de vivre seul et que je pouvais profiter des paysages de ce vaste monde en même temps. Mais quand je travaillais dans un restaurant, j’étais confronté à la réprimande du patron et à la raillerie des autres; quand j’ai payé le loyer et les services publics, j’ai constaté qu’il ne me restait plus que peu d’argent; quand j’avais gagné de l’argent et que je profitais de bons vêtements et de la bonne nourriture, je sentais que mon cœur était indiciblement vide sans savoir pourquoi, quand je marchais dans les rues animées et entendais la musique lugubre des magasins, je pleurais parfois silencieusement. Finalement, j’ai confessé que je m’étais trop éloigné de Dieu et trop longtemps, et que ma poursuite était en essence la lutte contre mes origines, ma famille, mes parents, le temps et la réalité …. Au bout du compte, je me suis battu contre mon destin et j’ai résisté à la souveraineté et aux arrangements de Dieu.

Sans Dieu, où irions-nous

    Pour un homme qui travaille loin de chez lui, non seulement il s’inquiète de savoir s’il peut retourner dans son lieu de naissance quand il vieillit, mais il est aussi confus au sujet de la vie et préoccupé par l’avenir après quelques échecs. Ce n’est que lorsque j’ai eu de tels soucis que j’ai réalisé : Sans ces frustrations et amertumes, je ne connaitrais pas l’importance de croire en Dieu, et encore moins apprendrais-je à obéir à la souveraineté et aux arrangements de Dieu. Alors j’ai cessé de courir après la gloire et la fortune et je suis retourné dans la maison de Dieu. Après avoir vu les tendres paroles de Dieu, je me sentais comme si je venais de m’évader de justesse. J’ai vu que le livre dit : « Le monde est-il vraiment ton lieu de repos ? […] Peux-tu vraiment utiliser ton plaisir éphémère pour dissimuler le vide qui est dans ton cœur et qui ne peut pas être caché ? Tu peux tromper n’importe qui dans ta famille, mais tu ne peux jamais Me tromper. Parce que ta foi est trop faible, à ce jour, tu es toujours impuissant à trouver les délices que la vie offre. » (Extrait de « Ce que signifie un homme véritable »).

    Dans le passé, j’ai pensé que je pourrais certainement trouver une place pour réaliser mon ambition dans ce vaste monde. Peut-être que je ne gagnerais pas beaucoup d’argent. Mais si je pouvais être comme le personnage chevaleresque des romans, qui parcourait le monde avec son aspiration, sa fierté et son enthousiasme, alors ce serait aussi un plaisir pour moi. En un mot, je ne voulais pas vivre une vie ordinaire ou me résigner au destin quand j’étais jeune. Alors, quand j’ai entendu l’aîné dire : « Une personne doit obéir à la volonté de Dieu et faire ce qu’elle doit faire dans sa vie », je n’étais pas d’accord et pensais : « Ils s’abandonnent à leur destin et expriment leur démission. » Mais maintenant j’ai compris : « La renommée, la fortune et la vanité que j’ai poursuivies sont toutes des choses négatives, et ma poursuite est contre la souveraineté de Dieu sur le destin humain. Combien de richesses je peux posséder, quel chemin je peux prendre, et quel genre de destin je peux avoir ; tout cela est dans la souveraineté et la prédestination de Dieu. » Pour un être créé, se battre contre la souveraineté de Dieu et son destin le condamne à goûter toutes sortes de souffrances. Ces souffrances ne sont pas seulement la fatigue physique, mais le vide et l’impuissance dans l’esprit qui sont encore plus insupportables.

    Un de mes amis l’a ressenti plus profondément que moi. Après son retour devant Dieu, une fois dans une réunion il vit des paroles de Dieu sur la vie, la gloire, et la fortune, dont un passage dit : « Quand on regarde en arrière sur la route que l’on a parcourue, quand on se rappelle toutes les étapes de son voyage, on voit qu’à chaque étape, que sa route ait été ardue ou facile, Dieu guidait son sentier, le planifiait. Ces méticuleux arrangements de Dieu, Sa planification ordonnée, ont conduit l’homme, inconsciemment, jusqu’à ce jour. Être en mesure d’accepter la souveraineté du Créateur, de recevoir Son salut, quelle grande fortune ça représente ! […] Car on voit que lorsque l’on ne comprend pas le destin, quand on ne comprend pas la souveraineté de Dieu, quand on avance consciemment à l’aveuglette, en chancelant et en titubant à travers le brouillard, le voyage est trop difficile, trop pénible. Donc, quand les gens reconnaissent la souveraineté de Dieu sur le destin humain, les plus intelligents choisissent de le connaître et de l’accepter, de dire adieu aux jours douloureux alors qu’ils essayaient de se façonner une bonne vie de leurs propres mains, au lieu de continuer à lutter contre le destin et de poursuivre leurs soi-disant objectifs de la vie à leur manière. Quand on n’a pas Dieu, quand on ne peut pas Le voir, quand on ne peut pas reconnaître clairement la souveraineté de Dieu, chaque jour est vide de sens, sans valeur, misérable. Partout où l’on est, quel que soit son travail, ses moyens de subsistance et la poursuite de ses objectifs n’apportent que du chagrin sans fin et de la souffrance affligeante, au point que l’on ne peut pas supporter de regarder en arrière. Ce n’est qu’acceptant la souveraineté du Créateur, en se soumettant à Ses orchestrations et arrangements, et en cherchant la vraie vie humaine, que l’on se libérera progressivement de toute peine et de toute souffrance et que l’on éliminera tout le néant de la vie. » (Extrait de « Dieu Lui-même, l’Unique III L’autorité de Dieu (II) »).

    Quand il eut fini de lire ce passage de mots, son visage était déjà trempé de larmes. Il a dit que, pour réaliser l’ambition de changer son destin, il a abandonné son travail régulier et a quitté sa famille et ses amis. Puis il est venu seul pour travailler à l’étranger. Après beaucoup de hauts et de bas dans la vie, il avait gagné de l’argent. Cependant, afin de résoudre le vide dans son cœur, il est presque devenu accro à la drogue. Heureusement, il a été sauvé par Dieu et a accepté l’évangile du royaume. Après être revenu devant Dieu, il s’est rendu compte que la première moitié de sa vie était sous l’affliction de Satan, et qu’il a failli perdre la vie à cause de la poursuite de l’argent, de la gloire et de la fortune …

    Son expérience amère m’a fait pleurer, ainsi que de nombreux frères et sœurs. Nous avons tous autrefois erré dans le monde des plaisirs sensuels, et nous sommes retournés à Dieu à cause de Ses soins. Après avoir lu les paroles de Dieu et repensé à mes échecs ces dernières années, j’ai découvert ceci : « Obéir à la volonté de Dieu et faire ce que nous devons faire dans notre vie est l’attitude que nous devrions avoir pour obéir à Dieu. Ce n’est que lorsque nous nous soumettons à la souveraineté et à l’autorité de Dieu que nous pouvons obtenir la libération et la liberté. Et ce faisant, non seulement nous n’avons plus de douleur, mais nous avons aussi fait ce qu’un être créé doit faire et satisfait Dieu. »

    Vivez devant Dieu, confiez votre vie et votre destin à Dieu, et obéissez à Ses orchestrations et arrangements, alors vous expérimenterez ce qu’est la vraie paix et la vraie tranquillité du cœur. Mes chers amis, le rythme de l’œuvre de Dieu dans les derniers jours devient de plus en plus rapide. Si nous voulons encore construire une carrière et changer notre destin de nos propres mains, si nous sommes toujours piégés dans le tourbillon d’argent et de gloire et ne voulons pas chercher et accepter le salut de Dieu dans les derniers jours, si nous refusons toujours de venir devant Dieu, refusons de chercher et de pratiquer les vérités dans les paroles de Dieu, ou refusons de chercher à connaître Dieu et gagner la vie sous prétexte que nous sommes trop occupés par le travail, que nous devons prendre soin de notre famille, n’avons pas le temps, alors quand le grand désastre imminent viendra, où irons-nous ?

    Auteur : Zhongcheng

    Traduction par Koffi Anselme Kouadio

    Source : Bible en ligne 

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